NEELA - Je suis parfaite à ma façon, car Dieu ne fait jamais d'erreur.

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Citation :: CREDITS TUMBLR

« Gordon, Neela-Rose Esha »
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Make this dream

nom ▲ Gordon. prénoms ▲ Neela-Rose Esha. âge ▲ Vingt-six ans. date et lieu de naissance ▲ Weaver View, le 01/01/1986. nationalité ▲ Américaine, mais elle a du sang indien dans les veines. métier ▲ Fleuriste. situation familiale ▲ Mère célibataire. groupe ▲ Family Portrait. avatar ▲ Freida Pinto.

The best i've ever known

Pour mes parents, je suis une sorte de miracle, l'enfant qu'ils avaient attendu pendant tant d'années qu'il avaient commencer à perdre espoir quand j'ai pointer le bout de mon nez. Ma mère m'a toujours avouer que ce blocage avait eu lieu à cause de sa condition familiale, elle avait été adoptée alors qu'elle n'était un bébé et elle avait toujours eu l'impression de ne pas savoir qui elle était. C'est quand après des recherches, elle a su d'où elle venait que tout est rentrer dans l'ordre. Elle avait trente-cinq ans. Mon père avait déjà deux enfants d'une précédente union et il attendait de pouvoir donner ce bonheur à sa nouvelle femme. Alors quand ils ont appris que j'allais venir concrétiser leur amour pour toujours, ça a été le total bonheur, plus rien ne comptait pour eux que ma petite personne. Un garçon ou une fille, cela leur importait pas vraiment, il voulait juste un enfant en bonne santé et qui ferait leur bonheur. Alors quand je suis enfin née le premier décembre, ils ont tout de suite choisi de me donner Esha en second prénom, ce dernier signifiant ''désire'' en indien. Ils ont eu un peu plus de mal par rapport à mon prénom usuel, chacun voulant donner une part de ses origines, c'est comme cela qu'au bout de plusieurs heures c'est Neela-Rose qui m'a été donner. La suite de ma vie a été plutôt simple, tout du moins je ne m'en souviens pas le moins du monde et dans un sens, ce n'est peut-être plus mal. Mon premier vrai souvenir, c'est de moi en train de jouer au piano. Bien entendu, je n'étais pas une virtuose, mais je faisais déjà beaucoup d'activités à la demande de ma mère qui voulait que je sois absolument parfaite. Mais personne ne l'est et il lui a fallu du temps pour s'en rendre compte.

Ma rébellion a commencer comme pour tout les enfants à l'adolescence, mais à l'école primaire je me faisais déjà un peu remarquer en refusant de travailler ou encore en préférant aider mes camarades que de m'occuper de ma propre feuille. Cela m'a souvent valu des remontrances, mais je suis devenu pire quand je suis rentrée au collège. Au début l'appréhension me tenaillait, puis j'ai rencontrer d'autres personnes et j'ai commencer à réellement changer. Cela a commencer par répondre aux professeurs, ensuite à sécher les cours et je crois que ça a éclater quand ma mère m'a découverte dans ma chambre une cigarette à la main et en train d'embrasser une fille. J'avais quatorze ans, ça lui a vraiment foutu un coup et le soir-même j'ai eu le droit à un interrogatoire en règle. « Est-ce que tu as déjà pris de la drogue ? » Mon père avait l'air tout aussi affoler que ma mère et je ne l'avait jamais vu dans cet état auparavant. Pour toute réponse j'ai secouer négativement la tête tout en évitant son regard, c'était lui qui me faisait le plus peur, j'avais vraiment peur de ses représailles. « Et cette fille, qui est-ce ? » Beth, je la connaissais depuis mon entrée au collège et nous avions tout de suite sympathiser. Elle était tellement différente des filles de mon quartier qui ne pensait qu'à leur réputation et au reste. L'amour n'était rien à ses yeux et à notre âge, elle avait déjà vécu bien plus de choses que moi. Alors quand je lui avait avouer du bout des lèvres que je n'avais jamais embrasser un garçon, elle avait poser les siennes sur ma bouche. Ça n'avait pas été désagréable, même au contraire et je ne l'avait pas repousser.... Ensuite ma mère avait fait irruption dans ma chambre. « Ce n'était rien papa, juste un pari idiot que nous avons fait. Je te promet que ce n'est rien d'autre. » Il a eu l'air assez content de ma réponse, mais j'ai eu la droit d'être privé de sortie ainsi que d'interdiction d'aller chez des amis pendant deux mois. C'était énorme, mais j'ai fait avec. Pourtant je ne me suis pas calmée, au contraire et c'est même devenu pire quand j'ai croiser son chemin.

A mes yeux, il a toujours représenter l'idéal que je me faisais d'un homme, de celui qui me ferait chavirer. Je venais de fêter mon seizième anniversaires quand j'ai croiser son chemin pour la première fois, à la soirée qu'avait organiser le frère de l'une de mes amies. Pourtant je suis rester invisible à ses yeux, n'étant qu'une gamine alors que lui avait déjà près de dix-neuf ans. S'il voulait quelque chose avec moi, ce ne serait certainement que pour une nuit ou pour passer le temps, c'est ce que je me suis dit. Puis je l'ai revu, encore et encore, puis nous avons commencer à sortir ensemble. Devant mes parents il était le gentil garçon de bonne famille qui prenait soin de leur petite fille, avec moi, il était déchaîné et me faisait découvrir la vie d'une manière complètement différente que de la façon dont je la voyais. J'aimais la folie qu'il me donnait, la fureur dans ses baisers et surtout les mots d'amour qu'il me susurrait à l'oreille après que nos corps n'est fait plus qu'un. Nous étions dans l'excès sans toutefois tomber dans la tourmente infernale, pas de drogues dures et pour l'alcool, nous n'avions aucunes limites. Puis peut avant mes dix-sept ans, il est arriver devant chez moi avec son air nonchalant et son sourire qui me faisait fondre, mais ce n'était pas seulement pour me voir. Il a toutefois déposer un baiser sur mes lèvres avant de m'annoncer la raison de sa venu. « Il faut que je retourne au Nouveau-Mexique, ma mère est malade et elle a besoin de moi auprès d'elle... Ça me tue de te quitter, mais je ne peux pas la laisser se débrouiller seule. » Mon cœur avait cesser de battre en entendant ces mots, mais je n'avais rien fait pour le lui montrer, je ne pouvais pas craquer devant lui comme une adolescente. « Je comprends, qui sais, tu reviendras peut-être bientôt ? » Il avait souri avant de baisser la tête et de faire demi-tour pour remonter dans sa voiture, les larmes coulèrent sans que je m'en rende compte et c'est en le regardant quitter ma vie que je lâchais ce que j'avais en moi depuis quelques jours. « Je suis enceinte... » Puis j'étais rentrer chez moi, comme-ci de rien n'était.

« Je te l'avais dit ma fille, un enfant à ton âge est un suicide. » Mes parents avaient vraiment ma pris l'annonce de ma grossesse, mais je voulais le garder et ils n'avaient pas eu leur mot à dire. Ils avaient accepter de me garder sous leur toit si je leur promettais de continuer mes études après mon accouchement, même si ce n'était pas un domaine prestigieux comme la médecine. J'ai donc poursuivi ma grossesse jusqu'au terme et est accoucher d'un beau petit garçon au mois de juin, le plus beau jour de mon existence. La suite n'a pas été très facile, je ne peux dire le contraire, mais je ne regrette pour rien au monde de l'avoir garder près de moi, il est ma plus grande réussite. Ma mère qui a eu beaucoup de mal à s'y faire lors des neuf mois de grossesse est devenu totalement gaga en le voyant pour la première fois, tout comme mon père, même s'il a émit plus de réserve. Wilder est rapidement devenu l'homme de ma vie. J'avais bien chercher à prévenir son père de sa venu au monde, mais au bout de quelques mois je me suis dit qu'il avait peut-être quelqu'un d'autre dans sa vie. Alors j'ai repris ma vie normalement ou presque, conciliant l'éducation de mon fils et mes cours. Ne pouvant plus devenir médecin, j'avais fait le choix de devenir fleuriste en espérant ouvrir une boutique dès que j'aurais mon diplôme, avec l'aide de mes parents bien entendu. Je n'ai pas réellement vu le temps passer ensuite, trop préoccuper par un nombre impressionnant de choses et quand j'ai enfin pu souffler, je venais de fêter mes vingt-six ans. Mon fils s'en va déjà sur ses neuf ans et je n'en reviens pas quand je le vois, j'ai l'impression que c'est hier que je le tenais dans mes bras après cet accouchement terrible qui a duré près de vingt-quatre heures. Mais je sais enfin qui je suis, une maman.

Dirty dancing in the moonlight

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si je te dis " famille ", tu me réponds ?
la meilleure chose au monde, tout simplement. un rêve que tu voudrais toucher du bout des doigts. la peste à l'état pur, jamais tu ne voudrais avoir affaire à ça.
si je te dis " enfants ", tu me réponds ?
l'accomplissement d'une vie, d'un couple, d'un amour. une aventure de chaque instant, du boulot, de la fatigue ; en bref, de la réflexion avant d'en avoir. qu'ils sont mieux chez les autres, voir pas du tout tant qu'on y est.
si je te dis " mariage ", tu me réponds ?
la suite logique d'une vie à deux, avec de l'amour et toutes ces choses qu'on trouve dans les films. une importante décision quand même ; se réveiller tous les jours auprès de la même personne, vraiment ? un enchaînement volontaire, un boulet qu'on s'attache au pied ; sérieusement, c'est pour les fous ce genre de trucs.
si je te dis " ton but dans la vie ", tu me réponds ?
un mariage, des enfants, une parfaite petite famille, c'est tout. un bon karma ; probablement être en couple, un bel avenir ouaip, et pourquoi pas des enfants ? moi et ma ptite personne, sans avoir à donner de compte à qui que ce soit ; ouais, c'est là qu'c'est bon.

Take me down like i'm a domino

pseudo/prénom ▲ Marine. âge ▲ Dix-huit ans. région ▲ France/Normandie. comment as-tu trouvé BAF ? ▲ Sur Bazzart. et sinon, t'en penses quoi ? ▲ Il est sublime, je n'ai pas hésiter avant de m'inscrire. dernier mot ? ▲ Non, mon commandant.